rien de rien是哪首歌里的?出处是哪里?

谢谢~

出自《Non, je ne regrette rien》 , une chanson composée en 1956, les paroles sont de Michel Vaucaire, la musique de Charles Dumont. Elle a été enregistrée pour la première fois par Édith Piaf le 10 novembre 1960.
所以原唱依然是Édith Piaf
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第1个回答  推荐于2016-01-07
http://www.9sky.com/music/artist/12781 在这里可以听

Edith Piaf, c’est un peu le symbole de la chanson française dans le monde entier : aux States par exemple, vous dîtes que vous venez de Paris, et on vous demande illico si vous êtes fan d’Edith…Euh, non, elle est quand même morte 25 ans avant votre naissance, alors ce n’est pas que vous la détestez, hein, mais il y a quand même plus actuel…Sauf que dès que vous allumez votre poste de télé et que vous tombez sur une « star’ac » ou autres radio-crochets niaiseux, vous avez toujours une petite midinette qui essaye de « casserrr la voiiix » sur « L’hymne à l’amour »…Et pas une seule de ces starlettes éphémères, non pas une n’arrive à la cheville de la Piaf : elle n’était pas très grande pourtant, la Piaf, mais son talent lui, était immense…«Cet air qui m’obsède jour et nuit, cet air n’est pas né d’aujourd’hui… ».

Piaf c’était à la fois la rue, l’amour, la passion, la générosité, la gouaille, un charisme d’enfer, une voix unique et l’envie d’en découdre, d’arriver au sommet quoiqu’il en coûte. Et puis la Piaf n’était pas seulement une interprète époustouflante, elle était aussi une véritable dénicheuse de talents : grâce à elle, beaucoup d’artistes ont pu avoir leur chance, les hommes notamment, ses amants en particulier, de Montand à Becaud en passant par Moustaki : « Allez venez Milord… ». Mais voilà, le destin n’aime pas trop ces personnages hors du commun, inimitables, irremplaçables, ces êtres de génie qui défient la vie en se fichant de la mort : « Non, rien de rien, non, je ne regrette rien ».... En effet, la plupart de ces artistes d'exception ne font pas de vieux os sur cette planète bien trop terre à terre pour eux. Ainsi, Edith n’avait pas cinquante ans quand elle a passé l’arme à gauche, bouffée par les drogues et l'alcool, rongée par la fatigue, les amours (« Peu m’importe, si tu m’aimes, je me fous du monde entier »), les ruptures, les chagrins (la mort de Marcel Cerdan), la chanson, le spectacle. Mais pour longtemps encore, son nom restera gravé dans toutes les mémoires.

Comme beaucoup d’artistes mythiques, la naissance d’Edith est déjà une légende : selon elle, Edith serait née dans la rue, au 72 rue de Belleville, Paris, sous un lampadaire. Son père est acrobate, et sa mère est chanteuse. Mais il semblerait qu’Edith soit plutôt née à l’hôpital, en ce 19 décembre 1915. A l’époque, la petite s’appelle Edith Gassion, et elle démarre dans la musique en chantant des hymnes populaires dans la rue. A l’âge de 20 ans, elle est repérée par Louis Leplée, propriétaire du cabaret « Le Gerny’s », qui lui propose de venir chanter sur sa scène. La voix et la petite taille d’Edith inspireront à Louis le surnom de « Môme Piaf ». C’est sous ce nom qu’elle va commencer à se faire connaître, avant de sortir en 1936, son premier enregistrement, « Les Mômes de la cloche ». Mais Leplée, son protecteur, est assassiné à son domicile, et Piaf doit se trouver un nouveau parrain : ce sera Raymond Asso. Fou amoureux de la chanteuse, Raymond lui propose d’interpréter « Mon légionnaire », déjà chanté par une autre, mais qui sera sublimé par la voix de Piaf. C’est Marguerite Monnot qui a composé la partie musicale de « Mon légionnaire », et qui composera beaucoup d’autres grands succès d’Edith Piaf. Raymond fait ensuite tout son possible pour que Piaf devienne la vedette de l’ABC, salle de concert prestigieuse, où la chanteuse fait alors un tabac en 1937.

Star de la fin des années 1930, Piaf triomphe à Bobino ainsi que dans « Le Bel Indifférent », une pièce que Cocteau en 1940, a spécialement écrit pour elle et son compagnon du moment, l’acteur Paul Meurisse. Elle jouera ensuite avec Paul dans le film « Montmartre sur scène », et c’est sur le tournage de ce long-métrage qu’elle fera la connaissance de Henri Contet, qui deviendra, à l’image de Marguerite Monnot, l’un de ses compositeurs fétiches.

Pendant l’occupation allemande, Edith, qui a définitivement troqué « La Môme Piaf » contre « Edith Piaf », continue à donner des concerts, mais ne cède pas face à l’occupant nazi : elle chante des chansons à double sens, évoquant la résistance sous les traits d’un amant (« Tu es partout »), et protège les artistes juifs menacés par la milice et les allemands. L’été 1944 amène à la Piaf un nouvel amant : Yves Montand, dont elle va propulser la carrière. Puis en 1945, Piaf écrit l’un de ses premiers titres sans l’aide de qui que ce soit : « La vie en rose », désormais un classique. Un an après, la chanteuse rencontre les Compagnons de la Chanson avec qui elle met en boîte le morceau « Les Trois Cloches », qui fait un véritable tabac. Piaf part ensuite avec ses protégés donner des concerts aux Etats Unis pendant l’année 47.

A New York, elle fait la connaissance du boxeur Marcel Cerdan et tombe immédiatement amoureuse de lui. Elle décide alors de lui écrire, avec la complicité de Marguerite Monnot, le fameux « Hymne à l’amour ». Mais Cerdan meurt en 1949 lors d’un crash aérien : Edith est anéantie et essaye d’oublier (en vain) son chagrin en s’immergeant dans le travail. Elle lance Charles Aznavour, qui lui écrira par ailleurs « Jézébel », puis Eddie Constantine en 1951. Mais Piaf accumule les drames, puisqu’elle est victime de deux accidents de voiture. Le second est très grave, et l’on donne à la chanteuse de la morphine pour qu’elle ne souffre pas trop. Sauf que la morphine rend dépendant, et Piaf à partir de ce jour, ne pourra plus s’en passer. Morphine et alcool seront entre autres responsables de la mort prématurée d’Edith.

En 1952, Edith se marie pour la première fois de sa vie avec Jacques Pills, chanteur de son état. A cette époque, un certain Gilbert Becaud accompagne la Piaf au piano pendant sa tournée new-yorkaise. Becaud et Pills lui composent « Je t’ai dans la peau ». A New-York comme à Paris, Edith est une vraie star, triomphant dans toutes les salles où elle passe. En 1956, Piaf chante « Les amants d’un jour » et « L’homme à la moto » à l’Olympia, et un an après, fera connaître à son public « La Foule », titre inspiré d’un chanson sud-américaine, ainsi que « Mon manège à moi ».

Piaf continue par ailleurs à dénicher de nouveaux talents, dont Georges Moustaki, qui lui compose avec la participation de la fidèle Monnot, le célèbre « Milord ». Moustaki est aussi l’un des nombreux amants de Piaf, mais refusera de se soumettre à la tyrannie de la chanteuse. Piaf fait ensuite connaître Charles Dumont qui lui écrit « Non je ne regrette rien ». Puis, Edith Piaf remonte de nouveau sur la scène de l’Olympia, afin de rendre service à Bruno Coquatix, au bord de la faillite. La même année, Edith tombe amoureuse de Theophanis Lamboukas, dit « Sarapo » (surnom trouvé par Edith, et qui veut dire « Je t’aime » en grec), et cherchera une fois de plus à propulser la carrière de son amant. Elle se marie avec Sarapo en 1962, et le couple chantera à Bobino un an après, leur titre phare, « A quoi ça sert l’amour ».

En 1963 Edith Piaf est physiquement détruite, et part se reposer dans le sud, près de Cannes. C’est là bas, à Plascassier qu’elle meurt le 11 octobre 1963, quelques heures avant Jean Cocteau, l’un de ses meilleurs amis.本回答被提问者采纳
第2个回答  2008-01-22
Edith Piaf
Non, je ne regrette rien

原唱 艾迪特 皮雅芙
歌名 不,我不后悔

歌词如下

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal tout ça m'est bien égal !

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé !

Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux !

Balayées les amours
Et tous leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien, qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal !

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Car ma vie, car mes joies
Aujourd'hui, ça commence avec toi !